tablette édifiante animal crossing vrai ou faux

SelectPage. toile radieuse animal crossing. Nov 16, 2021 Coquespour iPhone et Samsung Galaxy de qualité sur le thème Rose Bonheur Rose Bonheur Rose Bonheur BonjourRounard a fait un tour sur mon île mais n'a pas été super généreux en venant avec deux œuvres que j'avais déjà: la tablette édifiante et la toile ténébreuse. Les deux sont vrais. Décomurale d'artistes indépendants sur le thème Rose Bonheur Rose Bonheur Rose Bonheur Rose Bonheur Rose Bonheur Rose Bonheur Rose Bonheur Rose Bonheur Rose Bonheur Rose Bonheur Rose Bonheur Rose Bonheur Rose Bonheur Rose Bonheur Rose Bonheur Rose Bonheur Rose Bonheur Rose Bonheur 1. Impressions photo, métalliques, sur toile, encadrées, posters et Transcription. JIan ghomeshI - VIA Rail Canada Site De Rencontre 100 Gratuit 2015. Hellopposum! Hello Stegos et Siam. Opposum a écritOu se joue alors la lenteur et la complexité de Windows ?Quand je suis revenu hier soir, j'ai visuellement complètement zappé ta question. Pas vu donc. Bien que je partage pas mal d'opinion avec Stegos, je vais répondre ce matin à ta question en des termes les plus clairs, les plus concis et les plus éclairés, techniquement y a toujours 2 aspects dans un ordinateur. La partie physique hardware qui la machine proprement dite. Et la partie logiciel software qui comporte à la fois le système d'exploitation, les logiciels, les réglages et les données utilisateurs. Pour répondre à la question du plantage ou de la lenteur, il faut savoir que c'est deux parties hardware et software peuvent en être à l'origine. Parfois, une seule des deux parties en sera le cause. Parfois les deux parties se superposent et cumulent les problèmes. De plus, et pour finir sur ce point, il y a un nombre très large de configurations hardware+software possible au monde, ce qui fait que, aucun ordinateur ne ressemble à son voisin. Il a donc 100 000 000 possibilités et plus de pannes et de lenteurs partie 1 Où se peut se donc se jouer la lenteur de windows?Quelques exemples possibles parmi de très nombreuses L'utilisation d'un disque dur d'ancienne génération hdd accouplé avec un Windows très récent qui demande beaucoup d'accès fréquent, et donc monopolise le disque sans cesse. ou/et- L'installation d'un Windows très récent sur une machine dont le processeur est très ancien. Ce n'est d'ailleurs pas l'âge du processeur qui rentre en compte mais bien sa capacité technique, figée dans le temps lors de sa fabrication, à bosser en brassant beaucoup de données. Beaucoup trop de données, en fait pour sa capacité de calcul, et donc, ce qui ne peut être calculé tout de suite, demeure quelque temps en file d'attente, y compris, les sollicitations immédiates de l' L'utilisation d'une génération de barrettes de RAM et/ou d'une quantité de cette RAM insuffisante par rapport aux besoins des logiciels démarrés par l'utilisateur. Dans ce cas, souvent, le système va recourir à une barrette de RAM artificielle qui, sous Windows s'appelle "mémoire virtuelle" et sous Linux, "swap". Puisque cette fausse barrette de secours est en réalité un espace réservé sur le disque dur, celui-ci se met alors à gratter de manière quasi continue et fait s'effondrer d'un seul coup les performances et le temps de réaction de la Un logiciel de type défragmenteur ou antivirus résident tourne en continu sur la machine en plus du système d'exploitation obligatoire et d'autres logiciels annexes, définis ou pas par l'utilisateur. Quand un seul ou plusieurs de ces logiciels consomment abusivement les ressources de la machine, c'est à dire l'espace en RAM, l'espace dans la "mémoire virtuel", l'accès disque très fréquent et/ou l'accès processeur trop important, les disponibilités finales pour l'utilisateur s'effondrent et celui-ci ne peut que voir ses requêtes exemple, un simple clic de souris être mise en file d'attente et disposer d'une priorité de traitement assez basse. D'où des délais d'attente qui disparaissent souvent au redémarrage de la machine, mais reviennent après quelques heures ou minutes, L'installation, souvent involontaire, voire masquée, d'un logiciel malveillant dont le but prédéfini par son/sa programmeur/meuse sera soit, de faire volontairement effondrer les ressources de la machine, soit d'utiliser ces mêmes ressources pour faire sortir des données régulièrement de la machine à l'insu de l'utilisateur, soit aussi d'utiliser toujours et encore ces mêmes ressources pour une mission de calcul dédiée à un usage externe cryptomonnaie. Ces programmes sont tous répertoriés sous l’appellation générique malwares. Mais en réalité, c'est une famille extrêmement large dont la nature légale peut être licite comme L'utilisation d'un programme par l'utilisateur, ou parfois "sous-traité" de manière transparente par le système d'exploitation, et dont la programmation aurait été mal réalisée dès le départ. Là, présentement, on ne parle pas forcément de bug, qui serait quelque chose davantage de l'ordre de faire planter simplement la machine ou le programme en lui-même, mais plutôt de redondances cycliques. C'est à dire en mots clairs, des lignes de programmation qui demanderaient au processeur de calculer puis recalculer presque indéfiniment un processus qui va de l'opération A à l'opération B, avant de passer enfin à l'opération C. Tout le temps passé de A à B est du travail réel pour le processeur, mais pour l'utilisateur qui patiente, ce n'est finalement que du temps perdu. Et puisque qu'ils sont quand-même très nombreux, ces logiciels qui présentent ce type de défauts techniques, il s'avère alors que l'expérience utilisateur soit vite dégradée au point de devenir gênante et que tout un chacun se prenne tôt ou tard l'envie de dire face à son écran "mais pourquoi ça rame autant?"Question, partie 2 Où se peut se donc se jouer la complexité de Windows?Cette partie de question est impossible à répondre de manière simple. Je vais donc toucher à l'essentiel. Déjà, il faudrait savoir de quel Windows on parle 95, 98 SE, seven, 10?... version serveur, OEM, pro ou Home?, et surtout installé sur quelle type de machine? très vieux Thinkpad sous Pentium 3, ou PC ATX de gamer sous core i9 overclocké? Aussi, de combien de cores et threads dispose-t-on dans le processeur? Combien de barrettes de RAM et quelle taille pour chacune? Quel slot d'accès de type IDE 100 ata, SATA3, ou PCIe, pour la partie stockage, autrement appelée, disque dur? Si la tendance générale veut que plus la machine est récente et plus Windows est rapide, il s'avère que ce n'est pas toujours le cas, et parfois un vieux Xp de 20 ans couplé à un processeur mono-coeur pas tout jeune puisse avoir des performances supérieures en terme de rapidité par rapport à un Windows 10 installé sur une machine moderne, mais notamment empêtrée dans des accès disque médiocres, parasitée aussi par des logiciels embarqués de mauvaise conception tout autant que des logiciels non-invités les malwares qui sont venu là foutre le bazar à cause d'une sécurité informatique particulièrement modo, le tout est de produire une situation d'équilibre entre la partie hardware la machine et la partie software l'OS+les logiciels+les réglages, ce que Linux pour sa part - même s'il n'est pas exempt de défauts, loin de là - a presque réussi à produire, en s'appuyant prioritairement sur une éthique forte en matière de programmation et de diffusion de ses pour qu'un Windows fonctionne bien et durablement, la recette presque idéale est celle-ciUne machine équipée de- Un processeur plutôt très puissant, même s'il est d'occasion ou de fabrication un peu Une quantité de RAM deux fois plus conséquente que les besoins réels, pour éviter facilement la mauvaise surprise du message indiquant "qu'il n'y a pas assez de mémoire pour exécuter une tâche".- Un disque dur de type SSD qu'importe la taille. Même un petit fonctionna rapidement. vous n'aurez simplement pas beaucoup d'espace pour vos grosses données personnelles. Au passage, qui dit SSD dit abandon des outils de défragmentation dédié exclusivement aux HDD, leurs prédécesseurs, qui sont de plus en plus des consommateurs de ressources en temps réel. Une vraie plaie dont il faut apprendre à se débarrasser rapidement!- Une carte graphique qui soit en corrélation avec l'usage et la diagonale de votre dalle d'écran. Surtout ne jamais sous-dimensionner les performances du GPU le processeur de la carte graphique si on a l'intention de s'adonner à des jeux modernes. - Un Windows compatible avec la génération du matériel désiré. C'est malheureusement souvent un choix qu'on ne peut pas vraiment faire et on doit se contenter de ce qui est en vigueur à l'instant T, ou bien de ce qui peut soutenir officiellement les configurations requises de ses programmes personnels. Là dessus, Linux est bien plus souple, même si ses versions sont largement plus encadrées et extrêmement directives dans les versions des logiciels proposés. en clair, à de rares exceptions, on ne greffe pas un bout de Linux sur un autre, à la volée. Il faut respecter des numéros de versions et des protocoles d'installation très droits.- Des mise à jour pour l'OS et pour les logiciels qui soient raisonnés, car parfois, les mises à jour mineures font plus de mal que de bien. Le total-update est parfois une erreur, et il ne faut pas céder systématiquement aux sirènes alarmistes des médias. Il faut donc faire preuve de discernement, souvent au cas par Des logiciels plutôt bien supportés nativement par Windows et dont la réputation est fiable dans le temps. Il est donc inutile de télécharger à tout va pour disposer d'un milliers d'outils qui ne font parfois pas plus que les propres outils de l'OS lui-même. Également, il ne faut pas installer systématiquement tout ce qui peut vous être proposé sur internet, c'est vraiment là la source du début des ennuis qui vont augurer une complexité de plus en plus grande de votre système, ainsi que parfois de nombreux ralentissements à venir et des bugs à Toujours à propos des logiciels, il est important de ne pas confier aveuglément sa sécurité à un antivirus résident qui va s'emparer de votre machine et en dévorer les ressources pour tout surveiller, sans discernement. Pour cela, il vaut mieux adopter des comportements plus safes et plus responsables, et recourir massivement moins à des assistants qui ne sont en fait que des vitrines commerciales, souvent payantes et chères, et dont la structure est parfois aussi bourré de failles et de défauts de programmation qui exposent à plus de risques que, comparativement, lorsque ces logiciels ne sont pas présents. Donc, moins c'est mieux! Et moins votre machine est encombrée de processus inutiles ou exotiques, et moins elle passera du temps à ramer. siamois93 a écritMais où en serait l'informatique sans Microsoft ?J'aurais plutôt dit Intel, AMD, IBM, Apple et Microsoft. Les trois premiers pour les puces, le quatrième pour l'apport démocratique de la souris qu'ils ont volé à Xerox et enfin Microsoft pour le côté enfin user-friendly qui a fait passer les ordinateurs de grosses machine barbares des scientifiques à blouse blanche au petit PC de salon... Il n’empêche, si Gates et Jobs n'avaient pas été de la partie, un autre fou serait de toute façon entré en lice et aurait proposé une autre approche de la chose. C'était quand même une sacré époque de bouillonnement intellectuel et on oublie un peu vite tous les petits ateliers dans des garages qui ont périclité en quelques années seulement, sans laisser de trace dans l'Histoire. Et ça n'aurait pas forcément été moins bon perso, j'ai encore du mal à accepter que nos cartes graphiques en slot ventilent par le bas à cause de standards AT complètement dépassés techniquement. Il y a peut-être un gars qui aurait pensé le truc différemment, et mieux. Édifiante aussi l'économie de moyen débile qui est à l'origine de la création du port USB faussement détrompeur. Qui ne s'est jamais trompé de sens en voulant insérer le bouzin dans son port? ^^ "Tiens, ça rentre pas! Et si je retourne? Ça rentre toujours pas! ??? Ha ben non, finalement c'était dans le bon sens."Si on a des PCs avec les performances actuelles c'est quand même grâce à plutôt une question de fondeurs. On aurait peut-être des processeurs moins balaises, certes, mais leur demanderait-on les mêmes les jeunes sont formés très jeunes de 30 ans et +, oui. Moins les vingtenaires, hélas. Ça commence à se sentir malheureusement. Certains commencent déjà à ne plus se projeter du tout sur le hardware, car ça, c'est l'affaire de Samsung et Huawei. Pour eux, le PC, c'est dépassé et tout doit migrer, dans les dix ans qui viennent vers les smartphones et autres tablettes qui accueillent des roms complètes ou custom "sur demande", et dans lesquels on ne modifie pratiquement plus les settings, même quand c'est rooté. Je suis de plus en plus en train de me mettre à la page de ces technologies là et je vois bien que le rapport à l'auto-formation des jeunes n'est pas le même que pour ma/notre génération de quadra. En fait, ils sont davantage demandeurs de modèles aux prefs sans cesse plus grosses pour installer sans peiner jeux et multimédia. Ne leur parle même pas d'un traitement de texte! Mais peu s'occupent concrètement de mettre les mains dans le code et les ressources. C'est pour ça qu'ils me délèguent le bordel à chaque fois, même s'il veulent m'épater ensuite avec le smartphone à 999 € qu'ils se sont payé, 3 jours avant, et le comparer à mes 3 modèles perso dont les prix varient entre 75€ maximum... et, le fond de la poubelle. Pour ça, c'est bien le confinement. Parce qu'ils ne viennent pas m’embêter avec leurs Androids à la noix, à mettre à jour avec des APK rétro-ingénieurée en mode manuel... C'est vraiment la plaie à faire, je te jure!Les petits patrons ont été très contents d'avoir un serveur sous Windows où ils pouvaient faire leur compta/gestion clients/sauvegardes/ étaient aussi moins contents des coût corollaires et des contrats d'entretien qui leurs tombaient sur les reins au bout de quelques années. Certains on voulu passer tardivement sous Linux. Mais ils ont raté le coche à cause d'une mise en oeuvre plus trop en adéquation avec leur culture informatique vieillissante. Du coup, nombreux sont restés sous Windows en espérant tenir comme ça jusqu'à la fin d'activité. Windows, durant la période 2000, n'a pas laissé que des bons souvenir chez les pros. J'étais parfois utilisateur par délégation chez des clients qui jouaient tout sur windows pour leurs sécurités. J'ai le souvenir d'avoir assisté à quelques violation d'adresse IRQ qui ont générées des sueurs froides aux gestionnaires de site, puis des angoisses quand ils ont compris que les partenaires de maintenance ne savaient pas ce qu'ils faisaient, ou bien avait mis la clé sous la porte. Stupeurs et tremblements! Et puis Linux, c'est un peu hardos. Le paramétrage X-windows où tu risques de cramer ton écran, bonjour. N'écrit pas ça, Siam, sinon, il y a vraiment des personnes sur le forum qui vont croire que l'écran peut prendre feu! Pour rétablir un peu la vérité, on peut dire que Linux nécessite encore un bagage technique un peu trop important pour s'y mettre sans échec quand on est tout seul. Toutefois, cela se résorbe de plus en plus et il y a même des distributions faites pour permettre à présent le passage aisément de Windows vers pour les débutants qui ont une très bonne configuration matérielle, ils peuvent toujours se tourner vers KDE qui se fait presque tout à la souris. Ce windows manager est certes plus lourd, mais quand tu as compris comment fonctionne le dossier /home et que tu as pigé comment synaptic se démerde avec les paquets et les sources avec la volonté de se passer définitivement des logiciels windows ou de retrouver autrement les grands classiques inter-plateformes tels que VLC ou libreoffice, la prise en main se fait alors ensuite très vite. Ce que je n'aime pas dans Linux c'est tout le pas grave que Linux soit parfois un folk de Windows sur l'aspect esthétique. Moi non plus je n'aime pas, mais qu'importe. Il en faut pour tout le monde. Ceux/celles qui n'ont besoin que d'un terminal et ceux/celles qui cliquent compulsivement. Linux, pour ça, est assez plastique pour satisfaire tout les besoins. A chacun-e son windows-manager, à chacun-e son bientôt. Hig.. Comme chaque année, l’heure du bilan est arrivée. Chaque année, j’aime regarder derrière et voir comment mes habitudes de jeu ont changé. Et comme chaque année, je vois que ça n’a pas changé. En relisant mes bilans 2011 et 2012, je me rends compte qu’ils se recoupent sur beaucoup de points. Il se trouve que cette année 2013 risque d’être identique. Je suis en effet à deux doigts du copier-coller. La faute tout d’abord aux joueurs, et tout particulièrement les joueurs occidentaux. Gamekult a pu mettre la main sur les chiffres de vente de jeux en France et c’est édifiant. Entre superproductions et jeux à licence, c’est l’agglutinement de blockbusters sans saveur. Heureusement, et je dis bien heureusement que nous trouvons ce bon vieux Luigi’s Mansion 2 qui vient faire de la résistance, avec la très bonne position – méritée – de Pokemon X/Y. Les jeux 3DS quoi, avec Animal Crossing, ne l’oublions pas. L’évènement de l’année a été pour beaucoup GTA V, soit le titre qui m’a laissé de marbre. Le jeu de l’année, selon de multiples sources et récompenses, serait The Last of Us je n’ai même pas eu le courage de le finir, ennuyé et lassé par tant de classicisme. Où est l’audace ? Le monde du jeu vidéo se contente, en tout cas du côté occidental, d’un formatage d’une tristesse sans nom, assimilé et apprécié semble-t-il par des millions de joueurs. Comme je l’écrivais les années passées, j’ai l’impression de rater quelque chose. Même les grands éditeurs japonais se mettent à faire de l’occidental, Square Enix les premiers. Mon éditeur fétiche, celui pour lequel j’aurais mangé des pâtes des mois entiers, nous refourgue du Tomb Raider, Deus Ex, Hitman en veux-tu en voilà, trois licences à la forte personnalité, du moins avant. Et quand ce n’est pas un de ces titres, c’est au tour d’un jeu sur mobile d’émerger. En ce moment, tous les grands titres de la firme sont adaptés, même Final Fantasy VI, dans une version honteusement laide. Paraîtrait que le géant renfloue ainsi ses caisses. Ce n’est pas une raison pour salir le paysage non plus. Il reste cependant quelques irréductibles qui se battent en interne – ou au sein de petits satellites, pour proposer autre chose, à savoir ce que Square savait faire de mieux il y a plus d’une dizaine d’années. En ressort un Bravely Default par-ci, un Final Fantasy XIII Lightning Returns par-là. Ce ne sont pas les seuls à migrer vers le mobile, l’une des plaies du moment. Et ce n’est pas Capcom et son Breath of Fire 6 qui renierait cette politique – en plus de l’avalanche de DLC en day one de chaque jeu. Est-ce que l’équipe a conscience de saccager une série forte, appréciée par des milliers de joueurs de par le monde ? Je me demande souvent si les développeurs vivent avec des œillères, ou plutôt leurs dirigeants, uniquement fixés sur les chiffres de vente. Du coup, encore une fois il y a donc un public pour ces hontes caractérisées. Sakura Taisen, Star Ocean, de fabuleuses licences adaptées pour téléphones et tablettes pour être plus rentables. Il y a en effet le portefeuille mais bon dieu, l’image et la fidélité des joueurs ne sont-elles pas plus importantes ? Certes, elles ne nourrissent pas forcément mais quand tout s’effondrera, je ne suis pas persuadé que les joueurs ne seront pas rancuniers. Il suffit de voir Nintendo et sa Wii U les éditeurs et les joueurs font payer à Nintendo sa politique d’ouverture grand public, trop grand public. Il est évidemment nécessaire que le plus grand nombre puisse découvrir les jeux vidéo et qu’il y en ait pour tous les âges et tous les styles ; malheureusement, en oublier son noyau dur peut entraîner un retour de bâton des plus douloureux. En résulte une console qui a bien du mal à décoller, avec peu de killer-app, voire aucune. Les éditeurs n’ont pas suivi – se remémorant que le marché des jeux Wii étaient détenus, comme d’habitude, par Nintendo – du coup, les joueurs n’ont pas, non plus, suivi, se disant que leur intérêt se trouverait plutôt du côté de Sony et Microsoft. Ce qui n’est pas forcément faux puisque les deux constructeurs ont su s’allouer le soutien de nombreux éditeurs pour les Xbox One et Playstation 4 fraîchement sorties. Ah le lancement d’une console est toujours un événement, alors deux à une semaine d’écart, allégresse. En dehors du fait que les deux promettent énormément, un peu trop, tant le jeu vidéo n’en demande pas tant, c’est sympa de piloter un menu à la voix, c’est drôle d’appuyer sur share et envoyer une vidéo dix minutes plus tard. L’intérêt ? La plus-value pour le monde du jeu vidéo ? Certains doivent comprendre tout ça puisque les ventes de consoles paraissent excellentes. Je ne cracherai pas dans la soupe, étant propriétaire des deux bêtes. Mais entre une Xbox One qui propose de bons jeux mais d’un classicisme absolu – Crimson Dragon et Killer Instinct rattrapant un peu cela – et la PS4 sans jeu – sauf des indépendants en démat’, ce qui n’intéresse qu’à de rares occasions le matérialiste que je suis, j’avoue que les consoles qui tournent le plus sont les anciennes et les portables. Guère reluisant, même si l’on sait tous qu’une console met en général un an pour se lancer correctement… avec tout de même une ou deux tueries entre temps. Quand je liste les jeux terminés cette année, on voit bien l’alternance anciens et nouveaux. J’essaie de m’ancrer dans le présent… mais je reviens sans cesse sur des titres d’antan, ou aux séries qui ont su garder leur identité. [accordion style= »2″ initial= »2″][accordion_item title= »Ma liste de jeux finis en 2013″] Neo Geo AES/MVS Virtual Boy Nintendo 64 Dreamcast PC Xbox 360 Xbox Live Arcade Playstation 3 PS Vita Wii U Xbox One [/accordion_item][/accordion] Il y avait une fraîcheur et une originalité de moins en moins présente de nos jours. Pour moi, 2013 a été marqué par les sorties de Gunlord et Fast Striker au format Neo Geo AES, deux titres de la NG Dev Team que j’attendais impatiemment dans mon bilan 2012. Du très bon niveau, utilisant très bien les ressources de la console. Ces titres aux routines vieilles de vingt ans m’ont davantage fait rêver que tout le catalogue 2013 dernière génération. La Neo Geo est revenue en force cette année, avec certes les histoires de droits liés à la Neo Geo X, mais surtout grâce à de nouvelles créations pas piquées des hannetons. La NG Dev Team a lancé un troisième titre AES, Neo XYZ, d’un de leurs développeurs ; LeCortex, a enfin terminé Crouching Pony Hidden Dragon, Jeff Kurtz, développeur-amateur de son état et accessoirement designer, a mis en vente son titre Knight’s Chance, un jeu de carte extrêmement prometteur. 3 jeux sortis, 1 en cours d’envoi et le dernier bientôt finalisé. Ajoutons à cela la création d’un convertisseur MVS-AES – dont j’ai été le beta testeur final – peu cher et de très bonne qualité par l’ami ftek. Sans compter que la machine possède sa ludothèque de rêve, ainsi se sont succédées les parties de Metal Slug, Windjammers encore et toujours, Matrimelee ou encore Stakes Winner – il fait moins rêver mais sachez que vous en aurez la critique cette année, tremblez. La scène indépendante a été extrêmement productive cette année Nightmare Busters, sublime hommage à un de ses créateurs décédé trop tôt, est lui aussi sorti en décembre. Un jeu SNES sublime – en cartouche compatible Super Famicom et Super NES – dans un emballage qui l’est tout autant. La Super Fighter Team a encore fait un boulot exceptionnel – souvenez-vous Legend of Wukong, c’était eux, entre autres. Oh Mummy ! sur Megadrive a quant à lui connu une réassort, des protos Virtual Boy ont également vu le jour en boîte. D’ailleurs, parlons-en du Virtual Boy. 2012 m’a permis de découvrir le Virtual Boy merci Mizakido, 2013 m’a amené un Virtual Boy chez moi, de manière définitive. 18 ans après sa sortie, l’engin impressionne toujours ces énormes lunettes, sa manette à la fois étrange et très agréable, ses jeux en noir et rouge étonnants. Même l’Oculus Rift n’étonne pas autant. Sitôt reçu, Tobidase ! Panibon a fait les frais de mon enthousiasme. J’ai adoré l’expérience. Quelques soucis techniques ont fait que je n’ai pas pu continuer à me faire plaisir, car il faut savoir que la console » est fragile. Désormais remise à neuve, je compte bien la rallumer pour de nouvelles aventures en 2014. Tout comme la PC-Engine Duo, récemment débarquée. Plus jeune, cette console m’intriguait, plus exactement, le nombre de RPG me faisait de l’oeil. Tengaï Makyo, bien évidemment mais surtout un jeu à l’ampleur bien moindre trônant désormais dans ma ludothèque, Emerald Dragon. Un RPG comme on n’en fait plus possédant une identité visuelle de fou. Si je ne dois faire qu’un jeu en 2014, ce sera lui. Mais en fait, il n’y aura pas que lui puisque je suis déjà sur Bravely Default, l’une des très bonnes surprises de la fin d’année 2013 en Europe soit dit en passant. Cette console de Nec, que j’apprends à apprécier, risque en effet de tourner en 2014 puisqu’elle aussi connaît, en plus de ses perles, pas mal de sorties homebrews. Je n’ai par exemple toujours pas fait Mysterious Song qui a l’air plutôt bon. Je dois confesser que beaucoup de supports me font de l’œil, j’ai encore tant de jeux à découvrir. Probotector et sur Megadrive, Aidyn Chronicles sur N64, Gransta Chronicle sur Swan Crystal, Pirates Gold sur Amiga CD32, dernière arrivée dans mon antre, une console à découvrir. Merci à la bible Amiga des éditions Pix’n Love qui m’a permis de combler mes grosses lacunes quant au passé de la machine. Il y a tant à découvrir que, même si je suis le premier à passer à la nouvelle génération, je préfère souvent me replonger dans l’histoire. Les jeux actuels sont souvent vus et revus, entraînant déceptions sur déceptions. Cette année, elles ont été plutôt nombreuses. A commencer par Anarchy Reigns, titre de Platinum Games auquel je n’ai pas accroché, tout comme Wonderful 101 plus tard dans l’année – je compte tout de même lui donner une seconde chance – mais surtout le reboot de Tomb Raider. Fan de la série, j’en attendais beaucoup. Du moins, je m’attendais à un Tomb Raider avec une réalisation de haute volée. La réalisation de haute volée, on l’a eu. Le problème, c’est que Tomb Raider a manqué à l’appel. Aucune exploration, ou presque, une histoire invraisemblable, une Lara à baffer et surtout, mais alors surtout, des fusillades à ne plus savoir qu’en faire. Au secours. Bon sang, ce n’est pas ça Tomb Raider, c’est de l’Uncharted lourd dingue. Quel gâchis, car sur le plan technique, animation comme graphismes, Tomb Raider est ce qui se fait de mieux sur PS3 et Xbox 360. Aux côtés de The Last of Us, oui. Lâché également trop classique et ennuyeux. Je tenterai de voir la fin en 2014. Quand même. Heureusement que nous avons eu droit à un Remember Me sortant des sentiers battus pour remonter la pente que l’Action-Aventure traverse… Beyond Two Souls que j’attendais pas mal vu l’excellente expérience Heavy Rain. Pas de bol, excès d’égo, excès de confiance, essai non transformé pour David Cage qui loupe totalement le coche du jeu renversant. Ennuyeux au possible. Maintenant, ce que l’on ne peut lui reprocher c’est d’avoir essayé. Il s’engouffre dans une brèche où peu vont l’originalité. Il est hautain ? Sûrement, encore que certaines interviews et vidéos le laissent apparaître sous un jour étonnamment différent de bien des retranscriptions. Etrange. En attendant, il se montre passionné par son métier et par son but. En résumant ma pensée, je me rends compte que le problème de l’industrie du jeu vidéo est le manque de passion qui transparaît dans les jeux actuels. Voilà pourquoi les homebrews m’intéressent davantage, voilà pourquoi j’attends des titres tels que The Last Guardian, superproduction dirigée par un passionné. Tout comme Final Fantasy XV – qui a changé de nom dans l’année – qui donne l’impression d’une équipe prête à retarder toujours plus son titre pour le peaufiner jusque dans les moindres détails. Déjà présents les années passées, ils représentent mes deux plus grosses attentes 2014. Même si, entre nous, nous savons tous qu’ils ne sortiront pas – s’ils sortent – avant 2015. Finalement, j’en attends guère plus de cette année. Final Fantasy X/X-2 HD, Mario Kart 8, Titan Fall, Les Chevaliers de Baphomet V complet…, Ys Memories of Celceta, Dark Souls II, des jeux au fort potentiel que j’adorerai certainement, qui seront très certainement indispensables à toute ludothèque mais dont il manque le petit truc qui fait trépigner d’impatience. Le rêve étant absent des générations actuelles, je pense que 2014 sera pour moi l’occasion de me replonger dans des classiques, déjà entamés voire achevés au moment de rédiger ces lignes. Pour donner mon orientation actuelle Pikmin, Skylanders Swap Force et Parasite Eve. Des indémodables parmi eux, pas forcément terminés à l’époque, mais dont l’aura fait qu’il est vital pour une bonne culture jeu vidéo – ce qui est très relatif, en effet. Si, j’attends énormément les annonces européennes de Dragon Quest VII 3DS – dont les rumeurs insistantes vont bien finir par me donner raison – et Dragon Quest X. Deux hymnes à l’aventure qu’il me tarde de lancer tandis que leur vision en vitrine depuis leurs sorties japonaises devient difficilement soutenable. Je me réconforte avec Dragon Quest Monsters Terry’s Wonderland, très bon remake du premier volet, sur 3DS. Les Dragon Quest font voyager et il s’agit d’une des dernières séries à réussir ce pari, véritable tour de force de nos jours. Le projet X, dernièrement annoncé pour 2014 par Nintendo, devrait lui aussi envoyer du pâté. Un projet Wii U, épaulé par Bayonetta 2, qui sera très certainement le jeu d’action de l’année. Je l’espère, le premier avait été le beat’em all de ces dix dernières années, il n’y a pas de raison. La Wii U est la console la plus prometteuse pour 2014, qu’elle ne déçoive pas. Résultat des courses, l’année 2014 m’attire pour ces sorties japonaises. Le Japon semble reprendre du poil de la bête. Les grands studios investissent dans la R&D Square Enix, Nintendo, Konami pour proposer des oeuvres japonaises avec un niveau de finition digne des AAA occidentaux. Cool, m’enfin… ils devraient se rappeler qu’offrir des jeux ne serait-ce qu’intéressants sera déjà très apprécié. Malgré ce que j’ai écrit plus haut, les jeux que j’attends le plus, sont de Square-Enix. Je dois être incurable. Qu’importe le développeur ou l’éditeur, de l’évasion et du plaisir que diable ! Et j’embarquerai de suite. Pour compléter votre musée ou découvrir les références au monde réel cachées dans Animal Crossing, découvrez toutes les œuvres d’art vendues par Rounard. Il y a toujours quelques chose à faire dans le monde d’Animal Crossing, que ce soit dénicher des habitants rares, aménager sa maison ou rendre son île la plus agréable possible. Cependant l’une des choses qui occupe le plus les joueurs est le musée. Le musée est un lieu important sur chaque île dans Animal Crossing New Horizons. En plus d’être un lieu de détente accueillant le café, il est l’occasion pour chaque joueur de contempler tout ce qu’il a accumulé. Parmi les différentes ailes du musée, on trouve une partie dédiée aux insectes, une aux poissons et une troisième aux fossiles. Mais c’est la quatrième qui suscite le plus les convoitises la galerie d’art. Dans cette aile, les joueurs peuvent admirer des versions miniatures et numériques de célèbres œuvres d’art du monde réel. Mais pour compléter le musée, il faut faire affaire avec Rounard et surtout ne pas se faire avoir. Comment obtenir des œuvres d’art dans Animal Crossing New Horizons ?Rounard, marchand d’art mais aussi de contrefaçonsLes différents tableaux récupérables dans Animal Crossing New HorizonsLes œuvres qui sont toujours vraiesLes toiles qui peuvent être contrefaitesLes sculptures présentes dans le jeuLes pièces qui sont toujours vraiesLes sculptures qui peuvent être fausses Comment obtenir des œuvres d’art dans Animal Crossing New Horizons ? La version New Horizons d’Animal Crossing permet de récupérer 13 sculptures et 30 tableaux au total. Pour les obtenir, vous pouvez par exemple en échanger ou en donner à vos amis. Mais la manière la plis simples est d’attendre le passage de Rounard. Ce renard présent dans de nombreux opus de la saga possède une petite échoppe ambulante. Dans New Horizons, son échoppe est sur un bateau accessible depuis la plage au nord de l’île. Marie annonce sa présence dans les annonces du jour, donc il est recommandé de rester vigilent. Une fois dans la boutique de Rounard, vous trouverez des objets divers mais aussi des œuvres d’art que vous pourrez acheter pour 4 980 clochettes. Mais il ne faut pas trainer pour les acheter car Rounard ne reste sur l’île qu’une journée par semaine. Depuis la mise à jour du jeu, il est possible de rencontrer Rounard tous les jours de la semaine sur l’île de Joe. Pour cela, il faut impérativement acheter sa boutique qui coute 100 000 clochettes. Il y proposera des tableaux différents de ceux présents sur son bateau. Selon votre avancement dans le jeu, vous avez ainsi une ou plusieurs chances d’acheter chaque semaine une œuvre authentique… ou éviter une arnaque. Rounard, marchand d’art mais aussi de contrefaçons Si Rounard prétend être votre ami et vous aider à compléter la galerie d’art, il n’hésitera pas à vous rouler dans la farine. En effet, les œuvres qu’il propose peuvent être réelles ou être des contrefaçons. Quand une œuvre contrefaite est présentée à Thibou, celui-ci la refuse systématiquement. L’œuvre en question peut alors aller dans la maison ou être revendue contre quelques clochettes. Pour éviter de se faire avoir et perdre des milliers de clochettes à cause de cela, connaître la liste des œuvres et de leurs erreurs » est très pratique. Les différents tableaux récupérables dans Animal Crossing New Horizons Au total, 30 tableaux peuvent être récupérés dans le jeu. Ils datent d’époques et de styles différents et ont été réalisées par des maîtres. On retrouve ainsi des toiles célèbres comme la Joconde de Léonard de Vinci, la vague de Kanagawa réalisée par Hokusai ou la Nuit étoilée de Vincent Van Gogh. Cependant, les œuvres vendues chez Rounard ne portent pas leur vraie nom. Leur nom se compose du mot toile et est associé à un adjectif. Ce n’est qu’une fois dans le musée que le vrai nom de la peinture et son auteur sont indiqués. Les œuvres qui sont toujours vraies Parmi les 30 œuvres qu’il est possible d’acheter à Rounard, 14 d’entre elles sont obligatoirement vraies. Si vous les voyez dans sa boutique, vous pouvez donc les acheter les yeux fermées. Les œuvres en question sont La toile scintillante La toile apaisante La toile florale La toile austère La toile crépusculaire La toile commune La toile magnifique La toile puissante La toile parfaite La toile tragique La toile ténébreuse La toile précieuse La toile radieuse La toile déferlante Ces tableaux sont sûrs d'être des vrais ! — Munh munhacnh April 23, 2020 Les toiles qui peuvent être contrefaites Les 16 autres toiles du jeu peuvent être contrefaites par Rounard. Cependant, il y a toujours un détail qui trahit la toile. Chaque tableau contrefait possède une petite différence avec l’œuvre originale, ce qui aide les joueurs à acheter ou pas. Si les amateurs d’art peuvent repérer facilement la différence, elles peuvent être plus subtiles sur d’autres œuvres. La différence peut être une couleur, le sens d’un personnage, un détail du visage qui change comme la Joconde qui fronce les sourcils ou un élément de la peinture qui manque. Les œuvres qui peuvent être contrefaites dans le jeu sont La toile hivernale La toile royale La toile classique La toile émouvante La toile potagère La toile détaillée La toile incroyable La toile solennelle La toile gracieuse La toile sauvage partie droite La toile nacrée La toile académique La toile sauvage partie gauche La toile effrayante La toile célèbre La toile charmante INFO ACNH Voici la liste des 16 tableaux de Rounard sur les 30 pouvant être FAUX ! J'ai joué aux différences pour vous entourer les parties qui montrent qu'ils sont faux ou non. La liste des 14 autres est en-dessous ! — Munh munhacnh April 23, 2020 Les sculptures présentes dans le jeu Les pièces qui sont toujours vraies Ajoutées dans New Leaf, les sculptures sont plus rares dans le monde d’Animal Crossing. Mais cela ne les empêche pas d’être aussi contrefaites. Sur les 13 sculptures qu’il est possible d’acheter chez Rounard, 2 sont cependant toujours vraies La statue imposante La statue pensive Les sculptures qui peuvent être fausses Comme pour les peintures, les contrefaçons des sculptures sont repérables à de petits détails comme des ajouts sur des statues classiques livre, collier, pelle, antennes…, une couleur différente ou un élément différent comme la position d’une jambe. Il faut donc ouvrir l’œil pour repérer les fausses et ne pas hésiter à utiliser des guides. Dans l’ordre de la vidéo présente ci-dessous, les 11 sculptures qui peuvent être fausses sont La statue majestueuse La sculpture singulière La statue guerrière La sculpture déterminée La tablette édifiante La sculpture mystérieuse La statue antique La statue héroïque La statue maternelle La statue féminine La statue athlétique Désormais, si vous croisez Rounard et que vous voyez une œuvre que vous n’avez pas dans votre musée, ouvrez l’œil ! Bien qu'absent pour le lancement du jeu, grâce à la mise 23 avril 2020 les joueurs peuvent enfin retrouver Rounard et ses fameuses œuvres d'art. Dans Animal Crossing New Horizons, vous pourrez débloquer l'apparition de Rounard et de la nouvelle salle au musée, après avoir déposé 60 spécimens au musée peu importe le type poissons et/ou insectes. Comment construire votre galerie d'œuvres d'art? Lorsque Rounard viendra sur votre île la première fois, il viendra vous proposer de lui acheter une oeuvre pour seulement» 498 000 clochettes. Attention, refusez cette offre pour qu'il vous propose son prix de cousin» à 4 980 clochettes. C'est là que vous ferez l'acquisition de votre première vraie oeuvre d'art. Allez la déposer au musée pour faire construire la galerie d'oeuvre d'art. Une fois construite, Rounard viendra sur votre île n'importe quel jour de la semaine de 5 heures à minuit, sauf le week-end afin de vous vendre diverses oeuvres. Attention sur son bateau, vous aurez accès à 4 oeuvres. Rounard, connu pour sa malice, pourra vous proposer des contrefaçons que vous ne pourrez pas rajouter à votre collection au musée. Il vous proposera aussi deux meubles qui changent à chaque venue. Nouveauté pour cet Animal Crossing, Rounard pourra vous proposer 4 contrefaçons en même temps, alors soyez vigilant sur les détails! Les oeuvres d'art sont toutes vendues pour 4 980 clochettes et seront rachetées par la boutique à 1 245 clochettes. Une autre nouveauté fait son apparition sur votre île, si vous avez téléchargé toutes les mises à jour, vous pourrez retrouver Rounard tous les dimanches du mois d'août sur la place de la mairie pour une tombola, appelé la Tombola de Rounard». Malgré sa présence toute la journée, vous ne pourrez participer à cette dernière que de 19 heures à 23h59. Pour y participer, vous devrez acheter un ticket, chaque ticket valant 500 clochettes, il n'y a pas de limite pour le nombre de tickets achetés. Vous pourrez grâce à cette tombola gagner de nombreuses récompenses! La liste complète des œuvres d'art dans Animal Crossing New Horizons Voici maintenant le tableau des oeuvres d'art, vous permettant de ne pas vous faire avoir par Rounard et ses contrefaçons VRAI FAUX INDICE NOM Tâche dans le coin supérieur droit Toile académique, Homme de Vitruve, Leonard de Vinci L'homme au centre n'a pas de chapeau Toile incroyable, La Garde de nuit, Rembrandt van Rijn Le faux a une frange Toile classique, L'Enfant bleu, Thomas Gainsborough X Pas de faux Toile apaisante, Un dimanche après-midi à l'île de la Grande Jatte, Georges Seurat X Pas de faux Toile commune, Des glaneuses, Jean François-Millet Fleurs roses Toile détaillée, Coq et poule aux hortensias, Ito Jakuchu X Pas de faux Toile déferlante, La Grande Vague de Kanagawa, Hokusai Il y a des sourcils supplémentaires Toile célèbre, La Joconde, Léonard de Vinci X Pas de faux Toile florale, Les Tournesols, Vincent van Gogh X Pas de faux Toile crépusculaire, Le Dernier Voyage du Téméraire, Joseph Mallord William Turner Le visage dans le sens du corps ou n'ont pas de barrette blanche dans les cheveux Toile gracieuse, Peinture sur soie d'une bijin, Moronobu Pas de fleurs dans le coin droit Toile potagère, L'Été, Giuseppe Arcimboldo X Pas de faux Toile puissante, Semeur, Jean-François Millet Pas d'arbres dans le coin Toile émouvante, La Naissance de Vénus, Sandro Botticelli X Pas de faux Toile ténébreuse, L'île des morts, Arnold Böcklin X Pas de faux Toile magnifique, Le fifre, Edouard Manet X Pas de faux Toile parfaite, Nature morte aux pommes et aux oranges, Paul Cézanne X Pas de faux Toile austère, Un bar aux Folies Bergère, Édouard Manet La quantité de lait est plus grosse Toile charmante, La Laitière, Johannes Vermeer Les sourcils vont vers le haut Toile effrayante, Otani Onji II, Toshusai Sharaku Un seul chasseur et des chiens en moins Toile hivernale, Chasseurs dans la neige, Pieter Brueghel l'Ancien Créature plus sombre et bec différent Toile royale, La Dame à l'hermine, Léonard de Vinci X Pas de faux Toile tragique, Ophélie, John Everett Millais L'homme dans le couloir du fond ne pose pas sa main sur le mur Toile solennelle, Les Ménines, Diego Vélasquez X Pas de faux Toile scintillante, La Nuit étoilée, Vincent van Gogh X Pas de faux Toile radieuse, La Maja Vestida, Francisco de Goya Le dieu est vert Partie gauche de toile sauvage, Dieu du tonnerre, Tawaraya Sotatsu Le dieu est blanc Partie droite de toile sauvage, Dieu du vent, Tawaraya Sotatsu Boucles d'oreilles étoilés et/ou les yeux fermés Toile nacrée, La Jeune Fille à la perle, Johannes Vermeer X Pas de faux Toile précieuse, La Liberté guidant le peuple, Eugène Delacroix A des antennes et certains peuvent avoir les yeux bleus Statuette antique, Dogu A un collier Statue féminine, Vénus de Milo, Alexandros d'Antioche X Pas de faux Statue pensive, Le Penseur, Auguste Rodin A un livre Statue majestueuse, David Michel-Ange X Pas de faux Statue imposante, Statue de Kamehameha Ier Est bleu Tablette édifiante, Pierre de Rosette Tire la langue Statue maternelle, Romulus et Remus A une boucle d'oreille Sculpture mystérieuse, Buste de Néfertiti, Thoutmôsis Montre sur le bras droit Statue athlétique, Discobole, Myron Est souriant Sculpture déterminée, Tête colossale A un couvercle Sculpture singulière, Houmuwu ding A le pied gauche devant Statue héroique, Victoire de Samothrace Tient une houe, le vrai ne tient rien Statue guerrière, Armée de terre cuite Ce billet est le 8° d’une série sur les limites des tests de QI pour les personnes dites surdouées » ou Haut Potentiel Intellectuel / HPI, Haut Quotient Intellectuel / HQI rédigée par Stéphanie Aubertin – Neuropsychologue. Il est temps de regarder de plus près le profil des personnes surdouées car l’on croit souvent à tort que ces personnes réussissent de manière significative tous les tests et leurs subtests. Or, il existe de nombreuses différences, que celles-ci soient intra-individuelles thème de ce billet ou inter-individuelles thème du prochain billet. 1. Dyssynchonie Terrassier 1981 a mis en exergue le décalage que l’on observe chez les enfants précoces entre la rapidité du développement de leur intelligence, et le développement normal des capacités psychomotrices et socio-affectives. Ce décalage crée un contraste que Terrassier a nommé dyssynchronie. Selon cet auteur, il existe deux types de dyssynchronies la dyssynchronie interne et la dyssynchronie externe. La dyssynchronie interne concerne à son tour 2 aspects le premier aspect affecte le couple intelligence/psychomotricité tandis que le second aspect touche la sphère intelligence/affectivité. La dyssynchronie intelligence/psychomotricité se traduit par des crispations musculaires, une hypertonie au niveau de la motricité fine, notamment dans les activités d’écriture car la main ne va pas aussi vite que la pensée. Cette difficulté amène souvent l’enfant à réaliser des fautes car toute son attention est focalisée sur la tâche d’écriture au détriment de la grammaire. La dyssynchronie intelligence/affectivité, quant à elle, laisse penser que l’enfant est immature au vu de ses réactions qui contrastent avec son intelligence. En fait, l’enfant est sensible aux événements explicites mais aussi aux non-dits comme à ses interrogations sur le monde, ce qui le rend sujet aux anticipations anxieuses et aux débordements affectifs débordements affectifs qui sont d’ailleurs normaux pour son âge. La dyssynchronie externe ou sociale concerne le décalage dont souffrent les enfants mais aussi les adultes dans leurs rapports aux autres. Il s’agit d’abord d’une différence dans les intérêts avec autrui, puis d’un décalage entre les besoins éducatifs du jeune et ce que propose l’école, enfin chez les adultes, cette différence d’exigence et d’épanouissement dans la vie professionnelle. Revenons maintenant au fameux test de QI et analysons les résultats des personnes à Haut Potentiel à ce test. En effet, et contrairement à ce que l’on peut croire, les personnes surdouées ne performent » pas à tous les subtests du WISC ou de la WAIS et un certain profil type bien caractéristique se dessine. 2. Différences entre les indices Silver & Clampit 1990 ont comparé à partir du WISC-R la fréquence d’observation d’écarts significatifs ie. plus de 12 points d’écart entre les QI verbal et performance au sein d’un échantillon de plus de enfants américains. Ils ont observé chez les enfants précoces QIT > 130 une fréquence d’écarts 4 fois plus élevée entre les QI verbal et performance que chez les enfants dont le QI est moyen. Cette fréquence était même jusqu’à 5 fois plus élevée chez les enfants dont le QI était supérieur à 140. Les auteurs en concluent que la différence intra-individuelle n’est pas rare chez les personnes Haut Potentiel et qu’elle ne doit pas être considérée comme provenant d’un trouble cognitif. Hollinger & Kosek 1986 précisent que pour 34% des enfants à Haut Potentiel, il existe un écart significatif entre les deux échelles du WISC-R. Dans 15% des cas, le QI verbal est supérieur au QI performance, et dans 19% des cas, le QI performance est supérieur au QI verbal. Cependant on regrette que leur échantillon soit très faible n = 26 enfants. Plus récemment, deux études se sont attachées à analyser le profil psychométrique des enfants à Haut-Potentiel au WISC III, en comparaison avec celle parue dans le manuel d’interprétation du WISC III et dont le nombre de sujets reste par définition faible cf. la loi normale c’est-à-dire ici n= 80. Ces deux études sont celle de Bessou et al. 2005 dont le nombre de sujets est 245, et celle de Morin 2011 dont le nombre de sujets est 273. Concernant cette dernière étude, et contrairement aux autres études, les critères d’inclusion ne correspondent pas à un seuil de QIT 130, ni de QIT 125 comme le suggère Terrassier, mais un seuil de 125 à au moins un des indices, afin, selon l’auteur de ne pas risquer de laisser de côté les enfants surdoués les plus en difficulté en raison de profils hétérogènes et de tester les différents seuils comme déterminant du surdouement». Source Pierre Morin Dans chacune des 3 études, on remarque que les courbes présentent le même profil une échelle Verbale haute au détriment de l’échelle Performance, plus faible. L’auteur souligne qu’avec des critères d’inclusion différents seuil à 125 à l’un des trois QI seulement, la courbe des performances présente la même forme, avec une baisse logique des valeurs. Le fait que le QIP soit plus bas – donc moins stable – dans l’étude de Bessou alors que le seuil d’inclusion est pourtant supérieur ne signifie pas, selon l’auteur, que ces compétences sont moins efficaces chez les enfants à Haut Potentiel, mais qu’elles représentent une fragilité d’expression des aptitudes en raison des pressions normalisatrices, notamment du milieu scolaire ». 3. Différences au niveau des subtests Revenons un instant à l’étude de Hollinger & Kosek 1986 sur le WISC-R. Les auteurs ont observé que pour 86,4% des enfants de l’étude, les performances à certains subtests étaient soit significativement supérieures soit significativement inférieures aux performances moyennes. C’est ainsi qu’ils ont mis en évidence que les subtests suscitant le moins de variabilité intra-individuelle font tous appel au raisonnement, alors que les subtests dont la variabilité intra-individuelle est la plus importante font partie de l’échelle Performance et font appel à la mémoire visuelle, à la motricité fine et à l’aptitude à traiter visuellement des stimuli abstraits. Subtests Pourcentage de sujets qui ont un score plus bas que le score moyen Pourcentage de sujets qui ont un score plus haut que le score moyen Pourcentage total Cubes 19 27 46 Code 23 12 35 Complètement d’images 19 4 23 Assemblage d’objets 0 15 15 Arrangement d’images 4 4 8 Arithmétique 12 0 12 Vocabulaire 4 8 12 Similitudes 0 8 8 Compréhension 4 4 8 Information 12 4 16 Pourcentage de sujets dont le score est significativement plus élevé ou plus faible que le score moyen selon les différents subtests du WISC-R Hollinger & Kosek 1986 Pour Kaufman 1992, cette hétérogénéité s’explique par le système de cotation basé sur l’attribution de points bonus en fonction de la vitesse de réponse. Selon lui, les enfants à Haut Potentiel seraient sous-évalués dans ces subtests, non pas en raison d’un niveau de performance moindre, mais parce que la vitesse de réponse n’est pas importante pour ces enfants, ce que suggère d’ailleurs Morin dans son étude. Ce dernier met en évidence dans son étude comparative Morin, 2011 l’existence d’un profil identique, caractéristique des surdoués, qui est bien différent de celui des personnes dont le QI est dans la norme courbe grise et plate ci-dessous. Certains subtests sont particulièrement bien réussis Similitudes, Compréhension, Vocabulaire, alors que d’autres sont moins réussis, voire juste » dans la norme Arithmétique et Code. Source Pierre Morin Si l’on analyse ces résultats en fonction du QIT, on observe que les courbes présentent une forme similaire du QIT 110 au QIT 160 rappelons que le seuil fixé ici est de 125 à au moins un des trois QI – QIV, QIP ou QIT – et que dans ce cas, le QIT peut être égal à 110, seul le niveau baisse. Source Pierre Morin L’auteur conclut que si cette courbe est bien significative du surdon, il y a lieu de s’interroger sur l’utilisation du seul QIT comme technique d’identification, tout comme les seuils à 130 ou à 125. Il propose alors, pour les QIT n’atteignant pas les 130 fatidiques, d’étudier de manière plus précise le profil de la courbe des notes standard. Le prochain billet s’attardera à décrire les différences inter-individuelles et mettra ainsi en avant l’influence de l’environnement et des stéréotypes sociaux. Sources Bessou, A., Montlahuc, C., Louis, J., Fourneret, P., & Revol, O. 2005. Profil psychométrique de 245 enfants intellectuellement précoces au WISC-III. 81, 23-28. Hollinger, Kosek S., 1986 – Beyond the use of full scale IQ scores – Gifted Child Quaterly, 30 2. Kaufman, 1992. Evaluation of the WISC III and the WPPSI-R for gifted children. Roeper Review, 14 3, 154-158. Morin, P. 2011. Étude du profil psychométrique de 273 enfants surdoués. Terrassier, J-C. 1981. Les enfants surdoués ou la précocité embarrassante. Editions ESF. Silver Clampit 1990 – WISC-R profiles of high ability children interpretation of verbal-performance discrepancies – Gifted Child Quaterly, 34 2. 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